Celestial Empire La passion du cinéma chinois
The Prosecutor marque le retour de Donnie Yen dans une production chinoise après l’échec de Come Back Home, et revient à ce qu’il sait le mieux faire : distribuer des mandales.
Produit par Raymond Wong, son producteur habituel, Donnie Yen retourne derrière la caméra après le décevant Sakra pour livrer un film d’action dans la droite lignée de Raging Fire. Toutefois, il semblerait que le scénariste Edmond Wong et Ho-Bon Mak (les Breakout Brothers), soient venus lui prêter main forte à la mise en scène.
Basé sur une histoire vraie à Hong Kong, le film d’action voit Donnie Yen incarner un procureur bien décidé à traduire en justice le véritable coupable :
Un homme pauvre, a donné son adresse et a reçu par erreur un colis de drogue. Après avoir été trompé et induit en erreur par son avocat, il est reconnu coupable de trafic de drogue. Le procureur Fok Zihao, ex-détective, va sans hésitation enquêter sur cette affaire injuste et découvrir le vrai visage des avocats de la défense. Sous la forte obstruction de l’impitoyable Ou Baiwen, le proc va risquer sa vie et sa carrière pour libérer un homme injustement accusé et traduire le véritable coupable en justice.
Julian Cheung (la franchise des Storm) joue l’antagoniste qui va donner du fil à retordre à la star des Ip Man. On retrouve également Kent Cheng et Francis Ng au casting.
The Prosecutor a prévu de distribuer les coups le 27 décembre dans les salles chinoises.
une histoire vraie de justice , pour principal un avocat qui partage des mandales à tout va…
cet avocat est il dans le droit ou le devoir selon la loi?
Le principe général du cinéma, c’est : le « désir » contre ou face à la « loi ». Donc, forcément, la méthode est dans l’illégalité, mais il le fait pour le bien 🙂
même si inspiré de fait réel, heureusement que c’est du cinéma. car si c’était un flic comme dans crime story et bien d’autres films , je dirai qu’il fait son devoir. mais un avocat ? ca part en contre sens.
Bah il veut défendre son client coute que coute et j’imagine qu’il a du mal a raccrocher d’une affaire avec son ancien métier de policier et dont le méchant est celui qui a fait condamné à tort son client.
C’est pas très subtil. C’est prétexte. C’est du Donnie Yen. Un film du samedi soir comme on dit ^^